Routage dynamique avec le protocole RIP
A l’extérieur d’un AS, on utilise les protocoles de routage EGP (Extern Gateway Protocol) comme le BGP
A l’intérieur de l’AS, on utilise les protocoles de routage IGP (Intern Gateway Protocol) Comme le RIP et OSPF qui d’ailleurs nous intéresse dans ce TP
Routing Internet Protocol est un protocole de routage à vecteur de distance car la métrique utilisée entre deux réseaux est le nombre de routeurs traversés. La version 1 de RIP ne supporte pas les sous réseaux dotés de sous masques. Par contre, la version 2 supporte le CIDR , nous allons l’utiliser ici !
Étape 1 : Fixation des adresses IP respectives sur chaque VPC
Étape 2 : Attribution des adresses IP respectives aux différentes interfaces des routeurs, comme il est indiqué sur l’architecture
Étape 3 : Activation du protocole RIP
Pour faire du routage dynamique avec le protocole RIP, la syntaxe est la suivante :
#router rip
# network adresse_réseau
Mais ici nous utilisons la version 2 de RIP dont voici la syntaxe :
# router rip
# version 2
# no auto-summary
Bref, pour le routage dynamique, on ne déclare que le réseau
Connectez-vous directement au routeur. (Nous le faisons pour chaque routeur)
Pour R1
On fait la même chose pour R2
Voici sa table de routage
Pour R3
Voici sa table de routage
Place au test
Depuis PC3
Vers PC2
Voilà, toutes les machines communiquent.
Conclusion :
Les avantages du routage dynamique sont très éloquents, car en cas de changement de la topologie du réseau, l’administrateur n’aura pas à passer sur chaque routeur pour renseigner les nouveaux réseaux. Au lieu de passer le claire de son temps à configurer le routage, la mise en place de ce mécanisme permettra à l’administrateur de vaquer à d’autres occupations.